dimanche 6 décembre 2015

Dungeons & Dragons : creatures fanart (aberrations) - Psurlon & Neogi

Deux fanarts de créatures-aberrations, tirées du célèbre jeu de rôle sur plateau D&D (version 3.5) :

Neogi

Les Neogis sont des créatures marchandes et esclavagistes, semblables à un croisement entre une araignée-loup et une murène. Ils ont un abdomen boursouflé couvert de fourrure brune, et huit membres dont deux sont similaires à des bras humanoïdes pourvus de griffes. Ils traversent de gigantesques distances à l'aide de leurs vaisseaux aux allures d'araignées mécaniques, afin d'obtenir des biens matériels (tantôt en faisant affaire avec d'autres créatures, tantôt en organisant des raids meurtriers) pour les revendre ensuite à prix d'or dans d'autres régions.

La société des Neogis considère que toute chose appartient à quelque chose -généralement aux membres de leur espèce, par extension. Tous les Neogis possèdent plusieurs esclaves, constitués le plus souvent d'Ombres des Roches et d'humanoïdes, et parfois même d'autres Neogis. Le système social des Neogis reposant sur une hiérarchie complexe, les esclaves Neogis possèdent eux-même leurs propres esclaves. Leurs crocs répandent un venin très vigoureux.

Neogi (black & white version)



Psurlon

Les Psurlons sont des vers humanoïdes géants intelligents, qui possèdent de formidables pouvoirs psychiques. Le corps et les membres d'un Psurlon sont tubulaires et semblables à d'énormes vers de terre agencés. Sa tête est dépourvue de visage et présente uniquement une gueule béante, encerclée par un anneau de courts tentacules. Ils sont parfois équipés de ceintures, décoratives ou utilitaires.
Ils vivent souvent en groupe dans des milieux souterrains, car ils détestent la lumière du Soleil (une particularité que beaucoup d'aberrations partagent) et sont généralement maléfiques. Les Psurlons communiquent entre eux par télépathie.

Psurlon (black & white version)

dimanche 11 octobre 2015

Nouvelle livraison N° 7 !

Wolf Link & Midna
(the Legend of Zelda : Twilight Princess)

Wolf Link & Midna (colored)


Hunson Abadeer
(Adventure Time)

Hunson Abadeer (colored)


Symetrical Octopus

samedi 27 juin 2015

The Dunwich Horror

Un hommage à la nouvelle "L'Abomination de Dunwich", d'Howard Phillips Lovecraft :




dimanche 7 juin 2015

jeudi 28 mai 2015

Pégase de Démence (creature design)


PÉGASE DE DÉMENCE

Ce mammifère volant ressemble à un agneau à la tête surdimensionnée. Son corps est recouvert de motifs raffinés, et son cerveau dépourvu de boîte crânienne semble émettre des ondes déformant la réalité. Deux petites ailes constituées d'énergie magique sortent de ses épaules, et ses yeux énormes étincellent d'une profonde folie.
Les Pégases de Démence sont des animaux issus d'un croisement ancestral entre des mammifères et des entités provenant de dimensions extérieures chaotiques. Ils vagabondent d'un plan d'existence à l'autre, et leur simple présence déforme l'espace-temps qui les entourent.
Bien qu'ils soient pacifiques et vivent pour la plupart comme de simples herbivores, leur puissance mentale est telle que les créatures imprudentes qui les approchent subissent des hallucinations et peuvent perdre la raison. Généralement solitaires, ils tolèrent la présence de leurs confrères et voyagent parfois en groupes. Ils peuvent ouvrir des brèches entre les dimensions et voler par la seule force de leur esprit.

dimanche 24 mai 2015

Arachne's Morphing

Un autre court-métrage d'animation en papier découpé :


Et voici les deux illustrations qui ont servi à sa réalisation :

"The Girl from Another World"
"Arakne's Kurse"


vendredi 3 avril 2015

Meatbag (creature design)

Le Saccavivanda, communément appelé Sacaviande ou Meatbag, est un monstre originaire des profondeurs d'une planète dont le nom et l'emplacement sont désormais inconnus. À l'occasion de la seule expédition terrestre ayant eu lieu sur cette planète, le climat et la population vivante s'avérant extrêmement hostiles ont contraint les colons à mettre l'astre en quarantaine en effaçant sa position et son nom des cartes astronomiques.
Au prix de nombreuses épreuves, des échantillons furent ramenés par l'équipe de recherche, parmi lesquels un cadavre de Meatbag. Cet unique spécimen, accompagné des maigres témoignages récupérés lors de l'expédition, limite encore les hypothèses possibles sur leurs modes de vie, durée de vie, comportements sociaux et alimentation. Voici les déductions rassemblées à ce jour sur cet organisme :

Meatbag
(Pachanidær Saccavivanda)

"Sa taille varie entre deux et trois mètres de long -du museau au bout de la queue- pour plus de deux mètres au garrot, et son poids avoisine huit tonnes. Comme leur nom l'indique, ils ont la particularité d'être composé presque exclusivement de chair : ils ne présentent ni squelette, ni cartilage, ni dents. Sur leur planète natale, la force gravitationelle est inférieure à celle de la Terre, ce qui explique que leurs six pattes pourtant fines supportent leur poids. S'ils marchaient sur Terre, ils s'effondreraient en implosant sous la pression de leur propre masse.
Ce sont des créatures d'élevages qui servent de garde-manger à certaines espèces ne pouvant ingurgiter que la viande des organismes encore vivants. Les Meatbags sont en effet pratiquement dépourvus de sens du toucher, si bien qu'ils ne ressentent aucune douleur même si l'on découpe la chair de leur corps. 
Par ailleurs, leur organisme fait preuve d'une vitesse de cicatrisation et d'auto-régénération stupéfiante, qui perdure même après leur mort, et semble due entre autres à un aliment originaire de leur planète. Tout comme la plupart des créatures exclusivement troglodytes, ils sont aveugles de naissance. Ils se repèrent en fait essentiellement grâce à leur ouïe et à leur langue olfactive, qui sont leur seuls organes sensibles."

vendredi 6 février 2015

Corades (creature design)

Corades
Nom scientifique : Caprenidae Luphius
Autres appellations : Khoradess, Khorades, Chorades, Korades, Koradaes, Coradess
Taille / poids : de 100 à 130cm au garrot (cornes comprises) pour un poids de 30 à 50kg
Localisation : hautes plaines et plateaux tempérés de Gothbrain, très présent dans la Grande Plaine des Herbes Noires
Alimentation : illiasicés, herbes diverses
Population : commun, réparti dans plusieurs régions

  Le corades (prononcer koradèsse) parfois appelé "chien-cerf", "cerf pêcheur" ou "cerf-volant", est une créature majoritairement nocturne. Il est doté d'ailes membraneuses, et de cornes semblables aux bois des cervidés, qui lui valent ses surnoms. C'est un prédateur volant dont les proies principales sont les illiasicés, des oiseaux terrestres et troglodytes passant la plupart de leur temps dans leurs terriers. Ces oiseaux de petite taille ont la particularité d'être extrêmement corrosifs, en raison d'un poison acide et virulent qui circule dans leur sang et qu'ils évacuent par les pores de leur peau. Les illiasicés sont bien sûr immunisés contre cette toxine, et l'utilisent pour creuser leurs galeries souterraines et se protéger des prédateurs.
La technique de chasse du corades consiste à planer de nuit en éclairant la surface du sol à l'aide d'une "lanterne" organique, semblable à un flocon de neige d'une dizaine de centimètre de diamètre, suspendue à leur langue, et dont l'extrémité est terminée en crochet. Les illiasicés sont également nocturnes et se nourrissent de divers insectes, parmi lesquels certaines espèces émettant de la lumière, à la manière des lucioles. Ainsi piégés par la lumière émise par le corades, ils sortent chasser et sont happés par la langue-crochet du prédateur.
Après avoir capturé sa proie, le corades atterrit et laisse pendre la victime au bout de son crochet jusqu'à ce qu'elle soit vidée de son sang empoisonné. Le processus prend plusieurs heures, parfois même plusieurs dizaines d'heures, durant lesquelles le corades reste parfaitement immobile -sauf en cas de danger. L'illiasicé est dévoré une fois son cadavre pratiquement déshydraté.

Les corades possèdent une autre source lumineuse à l'extrémité de museau, plus complexe que celle de leur langue, qui leur sert à la fois à se repérer et à communiquer avec leurs congénères dans l'obscurité. Durant la journée ou s'ils se sentent menacés, ils n'émettent aucune lumière.
Les trous laissés par le sang corrosif de leurs proies ont plusieurs fonctions sociales importantes chez les corades : les femelles mettent bas dans ces cavités, afin que l'organisme des nouveaux nés produise instinctivement des anticorps les immunisant partiellement contre le venin des illiasicés. Les trous de taille réduite sont réservés aux déjections naturelles. Les couples de corades laissent "s'écouler" leurs proies au même endroit pour créer une cavité plus large, afin de préparer la naissance des petits.
Le reste du temps, les corades passent la plus grande partie de leur journée à brouter et à dormir dans les plaines, généralement paisibles. Ils s'envolent face au danger, mais ils ont peu de prédateurs naturels.
Les mâles s'affrontent à l'aide de leurs cornes, leurs pattes et leurs dents lors de la saison des amours. Ils luttent uniquement sur la terre ferme, et n'utilisent jamais leur langue-crochet contre un adversaire. Au repos, la langue et le crochet s'enroulent et viennent se loger à l'intérieur d'une cavité naturelle de la gorge.

jeudi 29 janvier 2015

CREEPYPASTA : Chicken Experiments

Forbidden Data serie : CHICKEN WINGS
"Chicken Wings" (ailes de poulet) est une expérience monstrueuse échappée des laboratoires du docteur Memphis Todd Adamolph. Ce savant tristement célèbre ne fut localisé que récemment en Russie dans une usine désaffectée, sept ans après sa fuite hors de l'Allemagne. 

On ignore à peu près tout de cet invidu, en dehors du fait que son exode soudain eût lieu suite à l'incendie fulgurant de l'école de médecine dans laquelle il avait étudié puis enseigné des cours de biologie avancée. L'ampleur des dégâts causés par le feu eut pour conséquence, en plus des nombreuses victimes et blessés, la perte de tous les documents administratifs et d'études de l'école ; mais le plus mystérieux reste la disparition de l'intégralité des recherches, données biographiques, et autres écrits ayant un lien quelconque avec Adamolph. Les observations des locaux indiquent que ces dossiers furent évacués des étagères et des archives avant le début de l'incident. Par ailleurs, on analysa la présence de blessures mortelles à l'arme blanche ou par strangulation sur certains cadavres carbonisés, ainsi que des traces de fioul, d'alcool et d'essence à divers endroits du bâtiment. 
Ces éléments, en écho à la disparition des documents concernant l'individu, firent l'objet d'une enquête au terme de laquelle on conclut qu'il s'agissait d'un acte de pyromanie volontaire accompagné de plusieurs meurtres, dont le professeur Adamolph était le présumé responsable.
Entre autres détails, des restes biologiques calcinés furent retrouvés dans la chambre et le laboratoire -également désertés- du protagoniste, et ne semblaient appartenir formellement à aucune espèce vivante connue à ce jour. Certains échantillons furent cependant identifiés comme des tissus humains et aviaires, parmi lesquels des ailes et têtes de gallinacés.

Enfin, un hangar condamné et supposé désaffecté au sous-sol de l'école, épargné par les flammes grâce à sa structure métallique, était imprégné d'une atroce odeur de sang et de chair lors de l'inspection des lieux, à peine couverts par l'odeur de brûlé et de cendre du bâtiment. Le hangar était néanmoins désert, présentant ça et là de larges taches de sang encrées dans le sol, bien que ce dernier semblait avoir été méticuleusement nettoyé auparavant. L'un des murs présentait un trou d'environs deux mètres de diamètre, creusé à l'aide d'un outil tranchant non identifié semblant correspondre à certaines blessures laissées sur les cadavres.
Le tunnel se poursuivait sur quelques mètres et menait directement à l'extérieur de l'école, dans la petite cour du bâtiment. Sur le sol furent identifiées des traces de semelles -dont le possesseur présumé fut Adamolph- et quelques traces d'origine incertain, appartenant à un organisme mobile pesant dans les cent-cinquante kilos, et n'ayant rien en commun avec des empreintes animales connues. Les traces s'arrêtaient soudainement à quelques mètres du tunnel, la dernière emprunte révélant une plus forte pression sur le sol, sans doute due à l'ajout d'une charge supplémentaire ou d'une pression musculaire ayant précédé un saut. De nouvelles traces de sang furent retrouvées dans le tunnel et la cour, mais les échantillons donnèrent des résultats improbables en laboratoire, à savoir une origine différente pour chacun : gènes humains, animaux, et même hybrides. 
Un décryptage des archives et faits divers ayant eu lieu précédemment ou simultanément à l'incendie signalent des témoignages de passants ayant vu ce qu'ils définissent comme "un oiseau monstrueux" traversant le ciel. D'autres pensent avoir aperçu, malgré la pénombre causée par la nuit et la fumée de l'incendie, une silhouette humaine s'élevant avec les formes volantes. Parmi les rescapés de l'école, beaucoup périrent des suites de leurs blessures, et d'autres succombèrent à la démence en raison d'un traumatisme qui, semble-t-il, dépasse le simple fait d'avoir vécu un incendie. On ne put finalement obtenir aucun témoignage des victimes, dont deux sont toujours sous surveillance en asile psychiatriques en raison de leurs violentes psychoses : l'un d'eux se croit traqué par des monstres, l'autre présente de sévères traces d'ornithophobie spontanée, et les deux souffrent d'hallucinations chroniques. 
Une longue poursuite des pistes s'ensuivit, mais le manque d'indices causa une prolongation des recherches qui s'étendit sur plusieurs années, jusqu'à ce que l'on retrouve six ans après les évènements un fait divers similaire ayant eu lieu en Russie. Les dates des différents témoignages allemands et russes ne diffèrent que de quelques jours d'intervalles, et les témoignages, identiques à ceux récoltés aux alentours de l'école lors de l'incendie, ajoutaient que les formes volantes avaient atterri au travers du brouillard dans une cité industrielle en Sibérie, abandonnée car trop isolée de la zone urbaine.

Une équipe réduite d'une dizaine d'hommes, parmi lesquels un inspecteur de police et des représentants des forces de l'ordre, furent envoyés sur place quelques mois après la confirmation de la concordance des informations du dossier. Il se déroula plusieurs jours sans nouvelle d'aucun des membres envoyés sur les lieux, ce qui amena les autorités à organiser une opération armée en Russie. Les soldats furent envoyés depuis des hélicoptères et lancèrent l'investigation de l'usine en suivi radio. 
À la suite de l'opération, le compte-rendu de la mission fut laissé secret par les autorités durant deux semaines, et les informations officiellement communiquées furent celles-ci : 

"Au moment où les soldats pénètrent dans le bâtiment, l'individu ADAMOLPH MEMPHIS ouvre le feu sur les forces de l'ordre et plusieurs soldats se retrouvent à terre avant que la cible ne soit abattue". 

Le dossier présentant plusieurs incohérences et un sérieux manque d'informations, telles que l'absence de détails sur la récupération et l'état des corps des victimes, des enquêteurs remirent en question la véridicité des faits et firent pression sur les autorités afin d'obtenir des détails de l'affaire. Après avoir essuyé des refus injustifiés et répétés, deux investigateurs récupérèrent illégalement le dossier classé top-secret dans les archives d'Etat. Le compte-rendu de l'opération se présente ainsi :

"Peu après le lancement de l'opération, une équipe de plusieurs hommes armés et équipés de torches frontales sont envoyés dans l'usine plongée dans l'obscurité. Ils sont accueillis par une odeur insoutenable de sang et de chair, et les membres sont pris de violentes nausées. Ils découvrent alors un laboratoire rempli d'atrocités, que les survivants de l'opération se refusent de décrire avec précision. Après avoir traversé quelques mètres ils sont attaqués par surprise par une "créature" imposante, laquelle tue sur l'instant et simultanément deux des membres armés. Deux autres victimes sont à déplorer avant que la cible ne soit abattue. 
Alors que les survivants s'assurent que la cible est bien décédée et poursuivent l'investigation des lieux, deux autres créatures apparaissent de galeries creusées à différents endroits de la pièce et attaquent les survivants. Les soldats ouvrent le feu mais sont contraint de battre en retraite, après la perte de trois autres membres. Une dernière victime est à déplorer, apparemment tuée par la première cible abattue s'étant relevée malgré ses blessures, selon les témoignages. 
Les soldats survivants refusent de faire récit des faits et présentent d'importants dégâts physiques et psychologiques. Les créatures en question, d'après les enregistrements radios de suivi des troupes, sont décrites comme des "horreurs ailées au bec fendu". La situation dépassant l'entendement et les connaissances actuelles, ce dossier sera placé sous secret d'Etat et le dossier de l'affaire restera sous clefs jusqu'à nouvel ordre. Les opérations concernant l'usine désaffectée seront également laissées secrètes et les corps des membres de l'opération -vivants, morts, et autres- seront incinérés." 

Par ailleurs, le dossier contient les photos des corps des victimes, lesquels présentaient des blessures extrêmement graves et, plus inquiétant, des marques d'infections et de métamorphose de l'organisme. L'un des visuels est flou mais semble montrer une victime présumée morte revenue à la vie, métamorphosée en une aberration attaquant ses médecins.
L'affaire fut finalement étouffée par les autorités, mais des échos s'ébruitèrent et en firent une légende urbaine perdurant toujours de nos jours, connue sous le nom de "Chicken experiments".


dimanche 11 janvier 2015

"SILENT HILL" & "The Maker" tributes

Un croquis tiré d'une série de creature-design réalisés pour un projet personnel, à savoir le bestiaire d'un nouvel épisode de la série Silent Hill.

"SILENT HILL : NEWCOMERS" project

Nom : Mannequin II
Statistiques : vitesse : 3 / résistance : 3 / population : 2 / puissance d'attaque : 2
Localisation : bâtiments & usines
Description :  "Mannequin II" est un monstre assez peu commun et peu puissant, mais il se révèle agaçant du fait qu'il ne possède qu'une seule tête sensible : l'autre est un leurre. Si elle saigne lorsqu'on la frappe, c'est qu'il s'agit de la bonne tête.
Symbolique : Matérialisé par le mensonge, l'hypocrisie, la "face cachée" du protagoniste principal.


Et un autre dessin en deux versions en hommage au court-métrage d'animation "The Maker" de Christopher Kezelos.
(character design : Amanda Louise Spayd ; musique : "Winter" de Paul Halley, )


Voici le lien vers le court-métrage en question, ainsi que son making-of : 

lundi 5 janvier 2015

Hommage et Ohmu

Un dessin en plusieurs versions d'un Ohmu, insectes géants apparaissant dans Nausicaa de la Vallée du Vent, manga et premier long-métrage d'Hayao Miyazaki (réalisé de mémoire, aussi le design n'est pas exactement le même que l'original).

  

Post Scriptum : Sauf erreur de ma part, les kanji utilisés pour "Ohmu" signifient littéralement "Roi des insectes" (Ô = Roi, et Mu(shi) = Insecte).  Que les connaisseurs en Japonais m'arrêtent si je m'égare !